Skip to main content

Fédération Française de la Cordonnerie Multiservice

Ensemble pour rassembler et promouvoir
un métier artisanal durable et responsable

Fédération Française de la Cordonnerie Multiservice

Ensemble pour rassembler et promouvoir
un métier artisanal durable et responsable

Fédération Française de la Cordonnerie Multiservice

Ensemble pour rassembler et promouvoir
un métier artisanal durable et responsable

Fédération Française de la Cordonnerie Multiservice

Ensemble pour rassembler et promouvoir
un métier artisanal durable et responsable

Fédération Française de la Cordonnerie Multiservice

Ensemble pour rassembler et promouvoir
un métier artisanal durable et responsable

Fédération Française de la Cordonnerie Multiservice

Ensemble pour rassembler et promouvoir
un métier artisanal durable et responsable

Fédération Française de la Cordonnerie Multiservice

Ensemble pour rassembler et promouvoir
un métier artisanal durable et responsable

Restes à charge : les 4 enseignements de l’étude inédite de Malakoff Humanis


C’est une première en France : grâce à un croisement inédit entre les données de l’Assurance maladie et de celles de Malakoff Humanis, l’étude que nous publions aujourd’hui met en lumière l’impact décisif des Organismes complémentaires d’assurance maladie (Ocam) dans la prise en charge des frais de santé.

Cette analyse offre une vision fine du reste à charge supporté par les Français… et du rôle souvent sous-estimé des complémentaires pour en limiter l’impact.

La France peut se targuer d’un système de santé solidaire. Pourtant, les remboursements de la Sécurité sociale laissent parfois un reste à charge significatif, notamment pour les soins hospitaliers ou en optique. C’est là que les Ocam entrent en jeu : leur intervention permet de considérablement alléger la facture finale pour les patients. Résultat : la France affiche l’un des restes à charge les plus faibles de l’OCDE.

Découvrez le rôle joué par les Ocam à travers les 4 grands enseignements de l’étude de Malakoff Humanis :

1. Un soutien décisif pour les patients les plus vulnérables

Les patients atteints d’affections de longue durée (ALD) sont particulièrement concernés. Malgré une prise en charge censée être de 100 %, ils doivent encore assumer des restes à charge importants. Pour une dépense moyenne en médecine de ville et à l’hôpital de 6 948 €, ils déboursent encore 1 055 €. Grâce à leur complémentaire, ce montant est fortement réduit.

L’étude révèle que ces patients bénéficient d’une couverture 1,8 fois plus élevée que les autres assurés.

2. À l’hôpital, une prise en charge quasi totale grâce aux Ocam

C’est à l’hôpital que le rôle des complémentaires santé est le plus visible. Pour un patient en ALD, sur 892 € de frais non remboursés par l’Assurance maladie, Malakoff Humanis en couvre 92 %, ne laissant que 71 € à la charge du patient.

Même constat pour les 1 % de patients ayant les coûts de soins hospitaliers les plus élevés : après 89 000 € pris en charge par la Sécu, il reste 8 552 €, dont Malakoff Humanis assume 8 001 €. Le reste à charge final tombe à 551 €.

3. Médecine de ville, optique, dentaire : les Ocam en première ligne

En médecine de ville, les complémentaires permettent de diviser par plus de trois le reste à charge moyen (de 47 % à 14 %). Elles jouent aussi un rôle central dans des domaines souvent mal remboursés : 75 % des frais en optique sont couverts par les Ocam, 49 % en dentaire, et 41 % pour les audioprothèses.

4. Une méthode porteuse d’avenir pour mieux piloter la santé

Au-delà des chiffres, cette étude illustre tout le potentiel du croisement de données entre l’Assurance maladie et les Ocam. Une approche prometteuse, qui pourrait être étendue à d’autres enjeux comme la prévention ou la lutte contre la fraude. De quoi imaginer un pilotage plus fin, plus juste et plus efficace de notre système de santé.

14 juin 2025

  • Séverine Bourlier